Description

La méthandiénone est un dérivé de la testostérone qui présente de fortes propriétés anabolisantes et des propriétés androgènes modérées. Ce composé a été mis sur le marché pour la première fois en 1960 et est rapidement devenu le stéroïde anabolisant le plus apprécié et le plus largement utilisé dans toutes les formes d'athlétisme. Cela est probablement dû au fait qu'il est à la fois facile à utiliser et extrêmement efficace. Aux États-Unis, la production de Dianabol a connu une histoire fulgurante, explosant pendant un certain temps, puis disparaissant rapidement. Beaucoup se sont inquiétés à la fin des années 80 lorsque les derniers génériques américains ont été retirés des rayons des pharmacies, la communauté médicale ne trouvant plus d'utilisation légitime pour ce médicament. Mais le fait que le Dianabol ait disparu du marché américain depuis plus de 10 ans n'a pas entamé sa popularité. Il reste le stéroïde oral le plus utilisé sur le marché noir aux États-Unis. Tant qu'il y aura des pays qui fabriquent ce stéroïde, il en sera probablement ainsi.

Tout comme la testostérone et l'Anadrol 50, la méthandiénone (également connue sous le nom de Dianabol) est un stéroïde puissant, mais aussi un stéroïde qui entraîne des effets secondaires notables. Tout d'abord, la méthandiénone est assez œstrogène. La gynécomastie est souvent un problème pendant le traitement et peut se manifester assez tôt dans un cycle (en particulier lorsque des doses élevées sont utilisées). Dans le même temps, la rétention d'eau peut devenir un problème important, entraînant une perte notable de définition musculaire en raison de l'accumulation d'eau et de graisse sous-cutanées. Les personnes sensibles peuvent donc vouloir contrôler les œstrogènes en ajoutant un anti-œstrogène tel que le Nolvadex et/ou le Proviron. Les médicaments plus puissants que sont l'Arimidex, le Femara ou l'Aromasin (antiaromatase) seraient un meilleur choix s'ils étaient disponibles.

En outre, les effets secondaires androgènes sont fréquents avec cette substance, et peuvent inclure des épisodes de peau grasse, d'acné et de croissance des poils du corps et du visage. L'agressivité peut également être augmentée avec un stéroïde puissant comme celui-ci, il serait donc sage de ne pas laisser votre disposition changer pour le pire au cours d'un cycle. Le Dianabol peut également aggraver la calvitie masculine. Les personnes sensibles peuvent donc souhaiter éviter ce médicament et opter pour un anabolisant plus doux tel que le Deca-Durabolin. Bien que le Dianabol se transforme en un stéroïde plus puissant par interaction avec l'enzyme 5-alpha réductase (la même enzyme responsable de la conversion de la testostérone en dihydrotestostérone), il a extrêmement peu d'affinité pour le faire dans le corps humain. Le métabolite androgène 5alpha dihydrométhandrosténolone n'est donc produit qu'à l'état de traces dans le meilleur des cas. L'utilisation de Proscar/Propecia ne servirait donc à rien.

Étant modérément androgène, la méthandiénone n'est vraiment un stéroïde populaire que chez les hommes. Lorsqu'il est utilisé par des femmes, de forts symptômes de virilisation peuvent évidemment en résulter. Certaines l'expérimentent cependant et trouvent que de faibles doses (5 mg) de ce stéroïde sont extrêmement puissantes pour la croissance musculaire. Lorsqu'il est pris, le méthandienone (dianabol) produit des gains de masse et de force exceptionnels. Son efficacité est souvent comparée à celle d'autres stéroïdes puissants comme la testostérone et l'Anadrol 50, et c'est également un choix populaire pour la prise de masse. Un dosage quotidien de 20-40 mg est suffisant pour donner des résultats spectaculaires à presque tout le monde. Certains s'aventurent à des dosages beaucoup plus élevés, mais cette pratique entraîne généralement une incidence plus importante d'effets secondaires. En outre, il se combine bien avec un certain nombre d'autres stéroïdes. Il est noté qu'il se combine particulièrement bien avec l'anabolisant doux Deca-Durabolin. Ensemble, on peut s'attendre à des gains de muscle et de force exceptionnels, avec des effets secondaires à peine pires que ceux que l'on pourrait attendre du Dianabol seul. Pour une prise de masse totale, un ester de testostérone à action prolongée comme l'énanthate peut être utilisé. Avec les propriétés œstrogéniques/androgéniques élevées de cet androgène, les effets secondaires peuvent être extrêmes avec une telle combinaison. Les gains seraient également importants, ce qui justifie généralement un tel effort de la part de l'utilisateur. Comme nous l'avons vu plus haut, des médicaments auxiliaires peuvent être ajoutés pour réduire les effets secondaires associés à ce type de cycle.

Pour pouvoir être administré par voie orale, ce composé est alkylé en c17 alpha. Nous savons que cette altération protège le médicament de la désactivation par le foie (ce qui permet à la quasi-totalité du médicament de passer dans la circulation sanguine), mais elle peut également être toxique pour cet organe. Une exposition prolongée à des substances alkylées c17 alpha peut entraîner des dommages réels, voire le développement de certains types de cancer. Par mesure de sécurité, il peut être utile de consulter le médecin plusieurs fois au cours de chaque cycle afin de surveiller les valeurs des enzymes hépatiques. Les cycles doivent également être courts, généralement moins de 8 semaines, afin d'éviter tout dommage notable. La jaunisse (obstruction des voies biliaires) est généralement le premier signe visible d'un problème hépatique et doit être surveillée. Cette affection se traduit par un jaunissement inhabituel de la peau, car l'organisme a du mal à assimiler la bilirubine. En plus de la peau, le blanc des yeux peut également jaunir, ce qui est un signe évident de troubles. Dans ce cas, il convient d'arrêter immédiatement la prise du médicament et de consulter un médecin. C'est généralement à ce stade qu'il est possible d'éviter des dommages plus importants et permanents.

Il est également intéressant de noter que la méthandienone est structurellement identique à la boldénone (EQ), à l'exception du groupe alpha-alcoyle c17 dont il a été question plus haut. Ce fait montre clairement l'impact d'une telle modification d'un stéroïde, car ces deux composés semblent agir très différemment dans l'organisme. La principale différence semble résider dans la tendance aux effets secondaires œstrogéniques, qui semble être beaucoup plus prononcée avec le Dianabol. L'Equipoise est connue pour être assez douce de ce point de vue, et les utilisateurs prennent donc généralement ce médicament sans avoir besoin d'un anti-œstrogène. Le Dianabol est beaucoup plus œstrogène non pas parce qu'il est plus facilement aromatisé, car en fait le groupe méthyle 17 alpha et la double liaison c1-2 ralentissent tous deux le processus d'aromatisation. Le problème est que le méthanmadiénone se transforme en l7alpha-méthylestradiol, une forme d'œstrogène biologiquement plus active que l'œstradiol ordinaire. Mais le Dianabol semble également être beaucoup plus puissant en termes de masse musculaire que la boldénone, ce qui confirme l'idée que l'œstrogène joue un rôle important dans l'anabolisme. En fait, la boldénone et le méthandienone diffèrent tellement dans leur puissance en tant qu'anabolisants qu'on les considère rarement comme liés. Par conséquent, l'utilisation du Dianabol est généralement limitée aux phases de croissance de l'entraînement, tandis que l'Equipoise est considérée comme un excellent stéroïde de coupe ou de prise de masse maigre.

The half-life of Dianabol is only about 3 to 4 hours, a relatively short time. This means that a single daily dosage schedule will produce a varying blood level, with ups and downs throughout the day. The user likewise has a choice, to either split up the tablets during the day or to take them all at one time. The usual recommendation has been to divide them and try to regulate the concentration in your blood. This however, will produce a lower peak blood level than if the tablets were taken all at once, so there may be a trade off with this option. The steroid researcher Bill Roberts also points out that a single-episode dosing schedule should have a less dramatic impact on the hypothalamic-pituitary-testicular axis, as there is a sufficient period each day where steroid hormone levels are not extremely exaggerated. I tend to doubt hormonal stability can be maintained during such a cycle however, but do notice that anecdotal evidence often still supports single daily doses to be better for overall results. Perhaps this is the better option. Since we know the blood concentration will peak about 1.5 to 3 hours after administration, we may further wonder the best time to take our tablets. It seems logical that taking the pills earlier in the day, preferably some time before training, would be optimal. This would allow a considerable number of daytime hours for an androgen rich metabolism to heighten the uptake of nutrients, especially the critical hours following training.